Non au Harcèlement

 

Le "harcèlement entre pairs", la forme la plus répandue de violence en milieu scolaire, est caractérisé par l'usage répété de la violence physique, des moqueries, des humiliations. On classe, parmi les formes de harcèlement, les insultes, le racket, certains jeux dangereux, le happy slapping (enregistrer et diffuser des images de violence), la propagation de fausses rumeurs.

 

Le cyber-harcèlement est une variante du harcèlement reposant sur l'usage d'internet et des technologies de communication.

 

Les atteintes à l'intégrité physique et à la dignité des personnes, en raison de leur orientation sexuelle, de leur origine ethnique ou de toute autre appartenance sociale, religieuse et raciale, sont aussi considérées comme de la violence. Au sein des établissements scolaires, une importance particulière est donnée aux actions visant à prévenir les violences racistes et antisémites, les violences envers les filles, les violences à caractère sexuel, notamment l'homophobie.

 

Pour en savoir plus sur le harcèlement :

POUR LUTTER CONTRE LE HARCÈLEMENT SCOLAIRE : LA MÉTHODE PIKAS


Des enseignants, personnels de l'établissement ont été formés en décembre 

Cette méthode créée en Suède dans les années 1970 par le professeur de psychologie Anatol Pikas, est basée sur une série de micro entretiens individuels, répétés, réalisés par les professionnels du secteur éducatif, avec les auteurs de faits de harcèlement.

Il s’agit d’amener les auteurs à devenir acteurs de la solution pour enrayer la spirale du harcèlement et éviter une escalade des faits et d’éventuelles représailles. Il s’agit d’une méthode dite « non blâmante », bienveillante et protectrice pour la victime.

Cette méthode est adaptée aux violences physiques, morales ou psychologiques constititutifs du harcèlement entre pairs